Poèmes - Je me jete à l'eau =)

Aussi loin que la nuit puisse le porter
Au loin malgré le noirceur qui peut me guider
Apercevant ténèbres au doux éclat
Je n'avance plus réellement pour ça, mais pour moi

Je m'accroche à la vie et ce qu'elle a de bien
J'oublie ce qui pourrait peser sur ma conscience
L'amertume d'une vie sans joie de grande envergure
Le silence qui pourrait mener à mort mes lendemains

Volonté De l'Eternel
Eternel Repos
Passion...

Sous les feuilles d'un saul qui pleurs, je partagerai ses peines
Sous le symbole d'une vie de haine, je penserais son coeur
Comme la sève qui s'écoule, pleurs tant que tu le peux
Déverse les larmes que tu as, à jamais je serai là

Et viens dans mes bras car malgré le silence aux alentours
Ce ne sera qu'un grand aller sans même un retour
Ferme les yeux et sers moi bien fort
Nous ne serons qu'une petite mort..

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A la danse de nos baisers, au soufflement du vent,
Sous la brise d'une journée d'automne commencé,
A l'inspiration de tes lèvres à la chaleur de ton corps,
Laisse moi être tienne et sous l'éclat de la Lune,
Le soir, nos doigts entre lacés, nous seront ses enfants,
Deux étoiles à l'abri du monde, laissons-nous portés.

S'embrassant sous les yeux ébahis de Satan,
La danse de notre amour n'aura pas de fin,
Et même le Soleil ne peut plus briller que nous,
Et dans le ciel nous seront les dominant,
A la chaleur de sentir ton cœur battre,
Enlaçons-nous jusqu'à en mourir, deux rois en train de pourrir...

Sous une Lune qui ne brille que pour nos âmes,
Nous serons à sa merci, je ne vivrai que pour toi,
Effacer un passé douloureux par un amour,
Ce matin, je me réveille au grand jour pour venir vers toi,
Ce soir, je resterais éveillé à imaginés, à nous rêver,
Je m'isolerais loin du monde, à attendre tes baisers..

Séparer de tout, nous ne sommes pas comme eux,
L'innocence, ils l'a possède encore dans leur esprit,
La différence est un tout dans mes sentiments,
Et aux yeux des Dieux, nous seront le néant,
Nous serons au dessus des lois, des montagnes,
A jamais, nous serons vie pour l'autre pour l'un...

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La feuille morte et la brindille cassé,
Le sourire mêlé à tant d'envoûtement,
Ne t'en fais pas, je ne t'ai oublié.

Le vent et la pluie sur une rose fanée,
Des larmes involontaires si bien versé,
Je n'ai jamais cessé de t'aimer.

Si tu croies que quelqu'un prends ta place,
Si tu croix que de toi je me lasse,
Alors tu ne comprends pas mes sentiments.

Par la poudre d'amour et son filtre,
Personne ne pourra te remplacer,
Peu importe ce que j'ai pu écrire.

Quand nous nous verrons tu le comprendras,
Que personne ne peu égaliser avec toi..

Perdue dans des sentiments abstraits,
Des images que je voudrais voir,
Les mots deviennent dérisoire..

Mais je ne t'oublie pas...

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Fardeau destiné à me tuer

Vie de dernières classes qui s'emporte à des fantaisies
Croyant qu'on peut avoir ce qu'on veut dans la vie
Dans ma tête l'impression d'une mélodie qui sonne faux
Mal de tête, entrechoquement de tous ces mots

Insomnies devenues de vrais calvaire à supporter
Les yeux ouverts, et ces cauchemars éveillés
Ne pas comprendre ce qu'ils signifient
Serrer les poings au point d'en saigner

Ces paroles dans ma tête destinés à me faire devenir folle
Des souvenirs qui ne veulent pas s'en aller plus loin
Bientôt je perdrais mon sang froid et mon contrôle
Fermant les yeux, je garde ma tête entre mes mains

Mais comment comprendre ce que je ressens
Je ne comprends pas moi même ce moment
Un embrasement d'espoir mais une perte de temps
Je sais que jamais je ne la reverrais et pourtant

Mes rêves sont fixés sur son visage et le mien
Des souvenirs dont je me souviens le sens
Des images quand je n'étais qu'une enfant
Puis-je aujourd'hui encore croire à te revoir ?

Un fardeau que je ne peux oublier
Une trace de mon passé qui ne peux s'effacer
La femme qui emporta un peu de mon enfance
Celle qui osa m'arracher le cœur sans regret

Celle qui a du déjà m'oublier...

Fardeau que je ne compte pas oublié
Un jour, nous nous reverrons
Car depuis que je n'ai que 6 ans, voir avant
Je n'ai jamais cessé de t'aimer

Et ta voix dans le téléphone qui résonne encore en moi
Je me rappelle de tes paroles qui m'ont achevé
"Plus jamais on ne se verra"

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Le temps se fait court, il s'arrête presque, mon coeur qui s'arrache,
Mais au final, les aiguilles tournent trop vite, je ne me sens pas bien,
C'est vrai que je n'ai plus le coeur à sourire ces temps ci,
Toi qui m'apporte la chaleur, ton absence détruit ma vie.

Enchaîner à un coeur qui ne me voit pas, à une ombre et une pensé,
Prisonnière d'un sentiment qui m'est propre, je ne veux pas l'oublier,
Ma rage de vivre s'est fait dépendant de lui alors pourquoi arrêter,
De toute façon, on ne peut pas, quand on a pas la volonté..

Et mon coeur me fait mal, putain que j'en tremble,
Un noeud dans ma gorge et aussi dans mon ventre,
L'impression qu'on m'égorge et lui qui me hante,
Je ne tiendrais plus longtemps je pense..

La nuit se fait longue quand on compte les secondes,
Mais quand je suis avec lui, je jour s'éternise à ma joie,
Je croix à ces moments capter d'étranges ondes,
Je me sens bien avec toi..

Mais je crève pour toi..

Je crève,
Abstraite pensé qui s'égare, je veux le regarder,
Je me crève,
Pensé m'obligeant à serrer les dents pour pas pleurer.

Mais je vis pour toi.

Je vis,
Instant si court s'éternisant sous tes regards,
Tu me fais vivre,
Des pensés limités à mon égards.

Et le temps se remet en route comme avant, bien tranquillement,
Avec nos fous rire qui resteront en ma mémoire éternellement,
Et comme je le dirais toujours..
Si tu veux pas de moi, je t'en supplie, achève-moi..